A quelques mètres de l'église de
St Fargeau se dressent deux tombes
qui semblent oubliées là, dans un creux d'ombre. Ce
sont celles d'Abel-Rémusat "Membre de l'Institut,
Professeur de langue et littérature chinoises au Collège
de France, génie profond, savant ingénieux, écrivain
élégant...."et de sa mère. D'après
son épitaphe, sa mort devait être "un deuil
éternel pour les lettres et les sciences." Celles-ci
semblent en effet avoir fait leur deuil du "fondateur des
études chinoises en Occident, dont l'oeuvre écrite
(aujourd'hui bien oubliée) mettait
,à sa mort, la France au premier rang de la sinologie dans
le monde occidental". |
Comment
apprendre L'enseignement |
Jean Pierre
Abel-Rémusat s’intéressa
très jeune au monde chinois alors très mal connu.
Il en apprit seul la langue, dans des conditions très difficiles,
tout en poursuivant ses études à la Faculté
de Médecine de Paris. |
Ces pages sont adaptées d'une conférence-diaporama donnée
à l'occasion
des journées du Patrimoine 2003 et de l'année de la Chine- © Jean ROBERT
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